À NE PAS MANQUER !
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À NE PAS MANQUER !
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Terentius Neo si sotia lui. Au trait la Pompei pana in AD 79.
Le photographe Bas Uterwijk a reconstitué ces deux visages grâce à un logiciel appelé «GAN» (réseau antagoniste génératif), une forme d'intelligence artificielle qui permet l'analyse de portraits à partir de différents supports (peinture, sculpture, gravure) et la transmission des données à un ordinateur qui donne une interprétation photographique actuelle. «La méthode que j'utilise est souvent considérée comme scientifique, en raison de l'aspect très réaliste du résultat. Mais la plupart de mes portraits sont en fait basés sur mes impressions et sont donc subjectifs », prévient Bas Uterwijk
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Le portrait de Paquius Proculus et son épouse est le nom donné à une fresque, datée entre 20 et 30, retrouvée dans la casa di Pansa lors des fouilles archéologiques de Pompéi, détachée de son support et conservée au musée archéologique national de Naples. Elle est souvent reproduite et illustre fréquemment les documents touristiques sur Pompéi.
D'un auteur inconnu, la fresque représente un couple de bourgeois de Pompéi, probablement mari et femme. Ils sont communément appelés « Paquius Proculus et son épouse », en raison d'une inscription trouvée à l'extérieur de la maison. En réalité, il s'agirait du boulanger Terentius Neo, comme le révèle le graffito découvert à l'intérieur de la maison, alors que l'inscription extérieure serait un texte de propagande électorale en faveur de Paquius Proculus, élu effectivement, ensuite, duumvir de Pompéi.
Sur la fresque, le boulanger – qui possédait son pistrinum (moulin à farine) sur la via dell'Abbondanza – est représenté vêtu d'une toge qui marque le rang de citoyen romain. En outre, les traits physiques des deux personnages dessinés trahiraient des origines samnites, ce qui expliquerait le désir d'ostentation des deux personnages. L'homme serre un rouleau de papyrus, alors que la femme tient en mains des tablettes de cire suggérant que l'homme s'occupait d'activités publiques ou culturelles et que son épouse s'attachait à l'administration des affaires domestiques : en effet, les tablettes de cire découvertes à Pompéi, qui conservent encore des traces d'inscription, ont toutes un caractère commercial et économique (contrats de location, recettes, reçus de ventes, notes de crédit ou de débit, etc.) (w.fr.)
Ansamblul, care conţine un mormânt circular de mari dimensiuni, a fost lăsat în paragină zeci de ani înainte ca lucrările de restaurare să debuteze în 2007.
Primarul Romei, Virginia Raggi, a descris mausoleul lui Augustus ca ”o bijuterie a patrimoniului istoric al umanităţii”.
Aceasta a precizat că lucrările de restaurare vor continua chiar şi după redeschidere.
Raggi i-a invitat pe cei care au fost grav afectaţi de pandemie – de la angajaţi din sectorul medical la proprietari de baruri – să viziteze monumentul în prima zi de redeschidere.
Monumentul poate fi vizitat gratuit până pe 21 aprilie, ziua când Roma celebrează aniversarea fondării sale. Potrivit tradiţiei, istoria Oraşului Etern a început în 753 î.Hr.
Municipalitatea a precizat că, deşi toate locurile disponibile pentru vizitare au fost deja rezervate, vizitatorii pot face rezervări online pentru date ulterioare. Rezidenţii Romei pot vizita monumentul gratuit, dar cei care vin din alte localităţi vor fi nevoiţi să achite un tarif de acces.
Augustus, care a trait între anii 63 î.Hr. si 14 d.Hr., este creditat cu instaurarea păcii şi stabilităţii în Imperiul Roman după asasinarea unchiului sau, Iulius Cezar.
După moartea lui Cezar, Augustus i-a înfrânt pe adversarii unchiului său, Marc Antoniu şi Cleopatra, în anul 31 î. Hr., preluând puterea şi trasând destinul Romei ca imperiu.
Mausoleul său, o structură circulară de 87 de metri lăţime şi 45 de metri înălţime, a supravieţuit de-a lungul secolelor, fiindu-i oferite diferite utilizări, cum ar fi grădină şi teatru.
La începutul secolului al XX-lea, o sala de concerte a fost construita deasupra sa, însă dictatorul fascist Benito Mussolini, care se considera un împărat al vremii sale, a distrus-o în anii 1930 în cadrul proiectelor de excavare a ruinelor Romei antice.
După Al Doilea Război Mondial, situl a căzut treptat în paragina şi a fost dat deseori drept exemplu pentru inabilitatea Italiei de a avea grijă corespunzător de monumentele sale. Jurnalistul Antonio Cederna, militant pentru conservarea patrimoniului, a supranumit monumentul ”dintele cariat” al Romei.
A fost restaurat datorită unor fonduri publice de 4,3 milioane de euro şi a unei donaţii din partea TIM, o firmă italiană din domeniul telecomunicaţiilor, al cărei cuantum nu a fost dezvăluit.
Una dintre atracţiile reamenajării monumentului este o nouă pasarelă în aer liber situată pe acoperiş, care oferă o privelişte spectaculoasă şi panoramică a monumentului şi a împrejurimilor sale.
Municipalitatea intenţionează să transforme într-o zonă pietonală piaţa din jurul mausoleului, caracterizată prin arhitectură din epoca fascistă. Lucrările sunt preconizate să se încheie până la finalul lui 2023, deşi există voci care speră să fie terminate mai devreme.
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https://lepetitjournal.com/rome/a-voir-a-faire/le-mausolee-dauguste-rouvrira-au-public-apres-14-ans-295221
Le mausolée d'Auguste rouvrira au public après 14 ans
Après quatorze années de restauration, le mausolée d’Auguste rouvrira ses portes à partir du 1er mars 2021. C’est Virginia Raggi qui, lors d’une conférence de presse au musée de l’Ara Pacis le 18 décembre dernier, a annoncé la réouverture prochaine du site.
Les travaux de restauration du site archéologique d’environ 13 000 m2 ont été financés par la société de télécommunication italienne TIM (pour 6 millions d’euros), par la ville et par le ministère italien de la Culture (pour 4 millions d’euros). Par ailleurs, il est prévu que la zone entourant le mausolée d’Auguste devienne progressivement piétonne.
Érigé en 28 avant Jésus-Christ, le mausolée d’Auguste est l’une des plus grandes tombes circulaires de la cité éternelle. D’après Suétone, dès sa construction il était possible de se promener dans les jardins qui l’entouraient. Son modèle architectural a longtemps fait débat, puisque l’on ne savait si l’on devait y voir une influence des tumulus étrusques (que l’on retrouvait à Cerveteri ou à Tarquinia) ou un modèle hellénistique, comme le mausolée circulaire d’Amphipolis qu’Auguste aurait visité en 30 avant Jésus-Christ alors qu’il était de passage à Alexandrie après la fin de la guerre civile (certains pensent en effet qu’il faut y reconnaître le modèle architectural et idéologique du tombeau d’Alexandre le Grand).
Selon plusieurs archéologues et historiens, ce projet s’inscrivit dans la lutte idéologique que se livraient Octave et Marc-Antoine, qui s’acheva avec la célèbre bataille d’Actium dont le fils adoptif de César sortit victorieux. En effet, Octave, futur empereur Auguste, aurait fait bâtir ce monument dans le but d’imposer l’image de la grandeur de son pouvoir et renouveler l’importance primordiale de Rome.
Au centre de la chambre funéraire centrale, on trouvait une statue colossale d’Auguste, signalant l’emplacement de sa tombe. Les cendres de la dynastie julio-claudienne (et jusqu’à Nerva) y furent également accueillies, mais certaines personnes n’y ont pas été admises, à l’image de Julia (fille d’Auguste qu’il condamna à l’exil) et de Néron, qui subit la damnatio memoriae (formule utilisée pour toute condamnation post mortem). L’empereur avait également exigé que l’on affiche à l’entrée de la tombe, sur des pilastres, les Res Gestae Divi Augusti (son testament politique). L’édifice conserva cette fonction funéraire jusqu’à la fin du 1er siècle, puis le mausolée d’Hadrien reprit cette fonction. Au début du Vème siècle, lors du sac de Rome, les urnes funéraires furent volées, les Res Gestae arrachées et fondues.
Au Moyen Âge, le mausolée fut transformé en forteresse par les Colonna, avant de devenir un jardin à la Renaissance. Au début du XVIe siècle, Franciotto Orsini prend possession du monument. En 1519, des fouilles permettent de retrouver l’un des deux obélisques qui décoraient l’entrée dans l’Antiquité ; il fut transporté en 1587 par le pape Sixte V devant l’église Sainte-Marie-Majeure. Après les Orsini, c’est la famille Soderini qui obtient l’usufruit du bâtiment et décide de le transformer en jardin d’agrément. À la fin du XVIIIe siècle, il est transformé en amphithéâtre puis en salle de concert, à la demande du Marquis Correa, nouveau propriétaire des lieux. À la fin du XIXe siècle, on le renomme du nom « Amphithéâtre Umberto Ier ». Mais, ayant perdu de sa splendeur, on choisit de l’utiliser comme atelier et on y réalise notamment la statue équestre de l’Autel de la Patrie (que l’on aperçoit aujourd’hui encore devant le palais de Victor-Emmanuel Piazza Venezia).
En 1907, la ville fait l’acquisition du mausolée et le convertit en auditorium ; il devient alors le siège de l’Académie royale de Sainte-Cécile jusqu’à sa fermeture en 1936. Mussolini demande alors la démolition des bâtiments médiévaux situés aux alentours du mausolée, entreprend de nombreuses fouilles et le fait trôner au milieu d’une vaste place d’architecture fasciste. Depuis 2007, la structure a été totalement fermée au public ; mais de nombreux projets de rénovation ont été proposés avant d’être, les uns à la suite des autres, bloqués.